Derniers moments à l’atelier

Le choix du sujet quel qu’il soit doit être traduit de façon à ce qu’il soit compréhensible à l’œil, mais aussi, une peinture ne doit pas être une photo, c’est là qu’intervient « le parti pris du peintre ».

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Photo de l'atelier

vue de l’atelier. Avant de quitter cet atelier, je voulais le garder en mémoire. Il y avait beaucoup de choses, dans tous les sens. C’était un peu embrouillé.

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Croquis de l'atelier

Alors, j’ai choisi l’angle de vue la plus aérienne et j’ai fait un croquis. (Dessin)

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Maquette

Puis j’ai défini les couleurs dans une petite maquette (photo maquette)

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L'atelier des petites écuries

Enfin, j’ai réalisé le sujet sur la toile.

Commentaires, astuces, conseils...

En faisant un croquis rapide, j’ai pris le parti de ne rien représenter dans son intégralité. Comme une séparation, l’escalier, les tableaux, les cadres, les fenêtres etc. sont amputés d’une partie d’eux-mêmes. Pareille aux souvenirs qui restent dans notre mémoire de façon parcellaire. J’ai trouvé que ça rendait plus intéressant le résultat et c’était la traduction de ce que je ressentais. C’est à chacun de choisir son « parti-pris. »